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Encore aujourd’hui certains parlent de conditions climatiques « exceptionnelles ». Nous devons rectifier cette vision, tous les ans les périodes de sécheresse sont bien présentent certes plus ou moins fortes. L’exception est que dans l’année il n’y est pas de sécheresse.

Face aux déclarations Ministérielles du style « Nouvelle calamité ou solidarité », les années passent et se ressemblent, il serait grand temps d’élaborer une politique ambitieuse pour garantir une gestion durable des ressources en eau, en ce qui concerne la quantité et la qualité de l’eau, son approvisionnement et sa consommation, dans notre Pays. L’accès à un approvisionnement suffisant en eau étant essentiel.

Les agriculteurs ont toujours contrôlé  localement le cycle de l’eau, soit au travers de l’irrigation soit au travers du drainage, il semblerait que ces derniers sont disposés à assumer leur part de responsabilité pour une gestion durable de l’eau en agriculture. Ils auront cependant besoin d’un soutien approprié si le secteur agricole doit être en mesure de jouer pleinement son rôle dans la réalisation du défi que représente le changement climatique et ce, au profit de la Société dans son ensemble. Les mesures d’économie des ressources en eau, déjà mises en oeuvre par de nombreux agriculteurs pour améliorer la résilience de leurs activités au changement climatique, devraient gagner en popularité. Ces mesures englobent la collecte des eaux de pluie, la rotation des cultures afin d’utiliser au mieux l’eau disponible, l’ajustement des dates de semis en fonction des températures et des précipitations, ces exemples incluent des mesures destinées à encourager une utilisation plus rationnelle de l’eau et le recours à des cultures et des techniques adaptées à la rareté des ressources en eau, ainsi que des mesures visant à développer de nouvelles méthodes d’approvisionnement en eau pour l’agriculture, telles que des réseaux d’irrigation ou des réservoirs de petite taille.

Une solution technique, à plus grande échelle, pour le stockage de l'eau est la création de « réserves de substitution » bâchées, déconnectées des cours d’eau et remplies par pompage en période hivernale d’excédent d’eau. Leur réalisation s’opère sur des terrains élevés relativement plats par décapage de couches successives du terrain et construites en déblai-remblai, les matériaux ainsi générés servent à la réalisation de digues.

Ces réserves permettront à terme aux agriculteurs concernés de sécuriser leur besoin en eau sans impacter le milieu aquatique. Pour les éleveurs, les ateliers bovins produisant du lait ou de la viande ; le stockage de l’eau contribuera à garantir l’affouragement de leurs troupeaux. Pour les producteurs fruits et légumes, maraîchers … la garantie de volume et de qualité des produits.

Ces réserves de substitution petites ou grandes capacités doivent recevoir un écho favorable à leur développement et non pas un tatillonement administratif, voir un refus de réalisation.

Aujourd’hui devant cette période de sécheresse, c’est l’abattage précoce du bétail, des récoltes menacées voir détruites, une spéculation sur le prix du fourrage … une catastrophe économique pour le monde agricole, des exploitation agricoles en perdition …

Des Ministères de l’agriculture et de l’écologie, nous attendons des actes, pas des effets d’annonces !

L'eau pour les industriels, pour les centrales nucléaires ... C'est vrai que contrairement aux agriculteurs, les industriels et les centrales nucléaires prélèvent l'eau de nos cours d'eau et la restitue dans sa majorité,. Mais il y a beaucoup à dire sur la qualité de ces rejets ! Ca sera pour un autre article.





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Plus ont se rapproche de 2012 de l’élection Présidentielle et surtout des Législatives, plus la fièvre monte chez les Députés UMP et de Droite, c’est vrai que les sièges où ils sont assis sont du type éjectable.

Nous avons une cinquantaine d’entre eux qui se dévoilent « Collectif de la Droite populaire » devons nous comprendre qui sont « plus populistes que populaires », enfin très tardivement ils expriment un ras le bol de fin de mandat avec soit disant, la goutte d’eau qui a fait débordée le vase, avec ces mesures concernant les panneaux radar, avertisseurs …

Jusqu’en Limousin où le Député de Creuse Jean Auclair furieux a lancé : «On est foutus ! Vos mesures, c'est une catastrophe électorale. Avec ça, on a perdu les élections...»  Extrait article de « Libération » un vrai prophète !

Quand à Philippe Meunier Député du Rhône : «Nous le disons calmement: "Ca suffit!". Jusqu’à présent, nous avons été bien gentils mais c’est terminé… On en a marre …». Extrait article de « Libération »

Ce collectif devrait être reçu à l’Elysée aujourd’hui Mardi 24 Mai 2011 à 17h00 par le Président de la République Nicolas Sarkozy, alors allons nous vers un affrontement réel dans l’hémicycle ou alors tout simplement ce beau monde rentrera t-il dans le rang ?  Réponse sous peu !

En attendant, notre vie sur la route !!! c’est la cacophonie, un pas en arrière pour calmer les rouspéteurs : Concertation des Elus départementaux et implantations de radars pédagogiques. A quand les radars avec écran géant « souriez vous êtes flashés » !

Pour mémoire, un embryon à développer, proche du système intelligent LAVIA (Limiteur s’Adaptant à la Vitesse Autorisée), qui est actuellement (sous forme informatif) partiellement utilisé sur certains avertisseurs et qui pourrait être une des solutions !

Beaucoup de temps de perdu. Vitesse supérieure requise pour faire avancer le dossier.

En cas d’aboutissement produit made in France s.v.p. Volonté politique oblige.  

 

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Utilisateur d'avertisseur de radar, je suis contre son interdiction et pour son incorporation dans les systèmes informatiques embarqués des véhicules, complétée avec des fonctions supplémentaires, par exemple : Anti-démarage (le conducteur est il apte à prendre la route), le temps de conduite sans repos, etc ...Des systèmes d'informations à majorité audio et accessoirement visio souhaités. 

Je vous livre ci-après un témoignage vécu, certe personnel mais surement pas isolé.

En circulation, à la vitesse autorisée de 90 kms/h, sur une route de campagne en trafic assez dense avec des passagers à bord, peut avant une cote avec une courbe dans sa hauteur, mon avertisseur signale en audio la présence d'un danger mobile, comme chaque fois cela déclenche en moi une plus grande vigilance, réduction de vitesse en prévision de ... Je ne pourrais remercier ce véhicule qui a renseigné ce danger qui par le système en temps réel est venu en information sur mon avertisseur, car en haut de la cote dans la courbe masquée par de la végétation une camionnette était en panne mécanique majeur empiétant sur la chaussée faute de place du bas coté, j'ai réussi grace à cette primo-vigilance à m'arrêter avant l'obstacle, la largeur de la route restante ne permettait pas le croisement de deux véhicules, j'ai évité ainsi un carambolage qui aurait été fatal pour plusieurs vies.

Ce jour là des vies ont été sauvées grace à l'avertisseur que l'on veut aujourd'hui supprimer. 

POUR MOI LE RADAR DOIT ETRE UNIQUEMENT PLACE SUR UN DANGER SPECIFIQUE ET REGLE SUR UNE VITESSE PERMETTANT DE FRANCHIR CE DANGER SANS PROBLEME, LE PANNEAU SIGNALANT CE RADAR EST A CONSIDERER COMME UNE SIGNALITIQUE D'UN DANGER IMMINANT. L'IMPLANTATION DE RADAR HORS ZONES A RISQUES ET DANGEREUSES EST CONSIDEREE COMME POMPE A FRIC !

La conduite d'un véhicule c'est la responsabilisation de l'individu à respecter la route avec ses contraintes. D'utiliser les appareils et systèmes embarqués en toute sécurité, voir déléguer son utilisation à un occupant accompagnateur en cas de manipulation de fonctionnement.

La concentration visuelle excessive sur le compteur de vitesse dans le souci de ne pas dépasser la vitesse de quelques kilomètres-heure de peur d'être flashé et couplé à la recherche et l'identification de panneaux, boitiers divers, présence de fonctionnaires ... sont des facteurs visuels de perte de concentration en temps-secondes au profit de la vigilance sur la route et qui peut être très dangereux.

A noter que chaque individu titulaire d'un permis de conduire possède son propre comportement et réaction émotionnelle sur la route au regard de chaque évènements ou situations rencontrés, qu'il soit novice, en activité professionnelle, avec des problèmes de santé ou un sénior.

Ces avertisseurs de danger, zones de travaux, incidents et accidents routiers, informations routières ... sont plus près de l'utilité publique que de l'interdiction.

Je souhaite une informatique embarquée très performante en assistance au conducteur surtout sur le plan sécurité avec un standard-type élaboré dans la concertation avec une technique couplée dans l'aménagement du réseau routier.

Aujourd'hui, là encore, sans consultations, sans concertations, sans études sérieuses, dans la précipitation une décision de technocrates et d'utilisateurs de la route avec chauffeurs très loin des réalités de terrain. Le seul côté positif est le profit pour l'Etat de l'encaissement des infractions, une mane financière !

Merci chers Contribuables, à vos poches !

Vous pouvez réagir à cet article, la parole est libre ... c'est à vous ...

 

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Avant d’envisager une quelconque exploration, nous devons maîtriser la technique en toutes sécurité et protection environnementales, non polluante pour l’eau, l’air, la terre, la mer. Dans le cas présent avec les techniques prévues, faire une exploration c’est faire déjà le mal avec les forages, l’exploitation étant simplement l’ouverture des robinets pour commercialiser.

Les territoires ruraux sont en première ligne …

Les députés français doivent examiner aujourd’hui mardi 10 Mai 2011 en urgence une proposition de loi UMP qui interdira le recours à la méthode très contestée de « fracturation hydraulique ». Le texte, examiné par l’Assemblée nationale, ne prévoit pas de mettre un terme définitif à l’exploitation des mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux, pour autant que les industriels utilisent une méthode moins risquée pour l’environnement. 

Le pétrole, une chose est sûre : le pic de production du pétrole est proche ou dépassé. Conjugué à l'instabilité politique en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, cela conduit le cours du baril vers des sommets,  la catastrophe nucléaire de Fukushima, confirment les tensions préoccupantes sur le marché de l'énergie. On entend désormais beaucoup parler du gaz et huile de schiste (aussi gaz de houille et les gaz de réservoir ultracompacts) comme d'un nouvel Eldorado.

Ont essaye de nous faire croire que si l’exploration vers une exploitation posait un danger environnemental serait un stop à la poursuite du projet. Je suis très septique à un abandon de la sorte après avoir financer en fonds perdus cette exploration.

Pour mémoire : 

Le gaz naturel exploité aujourd'hui « gaz conventionnel » est stocké dans de grandes poches accessibles au moyen d'un forage vertical simple.

Le gaz de schiste appartient lui à la catégorie des « gaz non conventionnel » il est pris au piège dans de petites poches imperméables  et répartis de manière diffuse dans différentes couches géologiques à grande profondeur , sa récupération nécessite des techniques lourdes et sophistiquées par multiplication des forages horizontaux avec  injection d’énorme quantité d'eau sous très haute pression, pour fracturer la roche « fracturation hydraulique » , avec l'accompagnement de sable et d'additifs chimiques divers, produisent des effets nocifs à plusieurs niveaux :

  • rejet de méthane et de sulfure d'hydrogène,
  • pollution d'énormes quantités d'eau (plusieurs millions de litres par gisement), souillée par des solvants, des antibactériens, des acides...
  • gaspillage d'une très grande partie de cette eau (Seulement 50 % sont récupérés et nécessitent en outre une dépollution très lourde),
  • contamination des sols et nappes phréatiques,
  • multiples rejets de polluants atmosphériques,
  • nuisances en surface : bruit, transports sur route, mitage du territoire... 

Cette technique est largement utilisée aux Etats-Unis et au Canada, où les écologistes accusent de gaspiller de l’eau, de polluer les nappes phréatiques, et de défigurer les paysages. Les Citoyens de certains sites ont l’avantage d’avoir l’eau dans le gaz ou le gaz dans l’eau, comme ont veut ! Un briquet allumé devant la sortie du robinet à l’ouverture de ce dernier la flamme jaillie avant l’eau !

C’est vrai qu’avec une avalanche de chiffres, plus ou moins réalistes, la tentation, l’aveuglement, le profit est délirant et donne le tournis.  « En France, les gisements potentiels qui se trouvent dans le sud du pays, mais dont les ressources restent difficiles à évaluer car aucun forage d’exploration n’a encore été autorisé. Le récent rapport commandé par le gouvernement estime qu’elles représentent 90 ans de notre consommation actuelle de gaz. De son côté, l’Agence (américaine) d’information énergétique (EIA) chiffre les ressources françaises à 5.100 milliards de mètres cubes. Selon Total, la région de Montélimar pourrait receler 950 milliards de mètres cubes, soit 21 fois la consommation annuelle de gaz en France. Concernant l’huile de schiste, les prévisions les plus optimistes de l’Institut français du pétrole (IFP) tablent sur des ressources équivalentes à 100 milliards de barils de pétrole de schiste, ce qui représente 150 fois la consommation annuelle de la France. L’Agence internationale de l’énergie avance un chiffre de « 100 millions de mètres cubes techniquement exploitables » dans le Bassin parisien, soit 628 millions de barils. Enfin, certains experts de l’IFP estiment que l’ensemble du sous-sol français pourrait contenir 200 milliards de barils. » (sources France Soir). Nous pouvons compléter l’inventaire avec des ressources localisées en mer Méditerranée.

Toujours dans la précipitation « bien connu du fonctionnement au sommet de l’Etat et du gouvernement ». En mars 2010, le gouvernement a accordé les trois permis de recherche d’hydrocarbures en Ardèche, dans la Drôme, le Vaucluse, le Gard, l’Hérault, l’Aveyron et la Lozère, sur une surface totale de 10.000 km2. Jean-Louis Borloo, alors ministre de l'Environnement, délivrait au groupe Total l'autorisation d'explorer une concession de 4300 km² entre le Sud de Valence et la région de Montpellier. Objectif : trouver une alternative intéressante aux importations massives d’énergies fossiles, sans avoir besoin des énergies renouvelables.  

Nous voyons là que plusieurs pays européens, dont la France, reviennent sur leurs engagements sur les énergies renouvelables,soit une absence flagrante de vision européenne sur les enjeux énergétiques. Pis encore, l’apriori incroyablement favorable sur la nouvelle lubie des gaz de schiste que convoite une poignée d’industriels en dépit des retours d’expériences des canadiens et des américains pour le moins problématiques, nous amène à nous interroger sévèrement sur la cohérence européenne en ce domaine

Certes, la ministre de l’environnement, Nathalie Kosciusko-Morizet a bien tenté de rassurer. Mais lorsque l’on découvre que les permis de recherche avaient été délivrés dans une totale opacité par Jean-Louis Borloo, lorsque que l’on écoute les derniers propos de M. Besson responsable du portefeuille central de l’énergie. Bref, Paris fait machine arrière, le premier ministre François Fillon affirmant le 13 avril dernier à l'Assemblée Nationale que le gouvernement entendait annuler ces premières autorisations déjà données aux projets d’exploration des gisements potentiels.

Il n'est pas question de sacrifier notre environnement, l’eau par exemple, bien public, qui fait partie de notre corps l’air pour respirer, la terre et la mer pour nous nourrir, le tout indispensable à la vie, mais il n'est pas question, non plus, de fermer la porte à des progrès technologiques qui permettraient demain d'accéder à de nouvelles ressources énergétiques.

Peut être y aura-t-il un sursaut humanitaire souhaitable de la part de certain Députés de notre Pays !

A suivre …

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Les Citoyens-administrés apprécieront !

Composition de la Communauté de Communes du Pays de l'Yssandonnais

Président : Philippe VIDAU - Maire d'OBJAT

Les Communes (par ordre alphabétique) : BRIGNAC LA PLAINE - LOUIGNAC - OBJAT - PERPEZAC LE BLANC - ST AULAIRE - ST CYPRIEN - ST ROBERT - VARS SUR ROSEIX - YSSANDON

Hors communauté : AYEN - SEGONZAC

Composition du Canton d'Ayen et représentativité aux dernières élections cantonnales de 2011 :

Lors du scrutin, le Président de la Communauté de Communes du Pays de l'Yssandonnais a obtenu % voix : 

BRIGNAC LA PLAINE : 17,90% - LOUIGNAC : 33,30% - OBJAT : 48,80% - PERPEZAC LE BLANC : 36,30% - ST AULAIRE : 41,90% - ST CYPRIEN : 45,80% - ST ROBERT : 35,20% - VARS SUR ROSEIX : 39,30% - YSSANDON : 39,20%

AYEN : 16,50% - SEGONZAC : 35,50%

Eh bien, que cela ne tienne, à la réunion budgétaire 2011 de la Communauté de Communes : Attribution d'indemnités au Président 784,06€ mois et aux membres du bureau : 313,62€ mois soit une dépense de 40.000€ par an ! Motifs invoqués : Nouvelles compétences de la Communauté de Communes et frais de déplacements. A l'heure de la mise en place de la réforme territoriale (Très contestée), voulue par le Président de la République, son Gouvernement et approuvée par la majorité présidentielle et son représentant local, voila une première preuve de mesure d'économie locale !

Créer une zone d'activité "Chez Minet" c'est bon pour l'emploi !, comment se rendre à son travail du domicile situé dans les communes membres au jour d'aujourd'hui et demain avec un litre de carburant vers les 2,00€ c'est mieux ! En matière de déplacement de personnes que se soit professionnel ou pour des besoins quotidiens, la politique de transports de la Communauté de Communes fait horriblement défaut. Un peu de volonté dans la sagesse budgétaire et le premier pas peut être franchit ! Encore faut il ? 

Notre territoire communautaire est représenté à la CDCI (Commission Départementale de Coopération Intercommunale) par une minorité décisionnelle au regard du résultat du dernier scrutin-citoyen cantonal ! Quel progrès démocratique!

A suivre ...

 

Article sur la réforme territoriale ... cliquez ICI 

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Ancien élu CONSEILLER MUNICIPAL délégué : Urbanisme - Circulation - Transport en commun. Commune de Grasse 06 Mandat électif : 1977-1983 Ancien membre d'un syndicat intercommunal de transport urbain Grasse-Antibes S.T.G.A. Ancien trésorier d'une association.

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