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national

Avant d’envisager une quelconque exploration, nous devons maîtriser la technique en toutes sécurité et protection environnementales, non polluante pour l’eau, l’air, la terre, la mer. Dans le cas présent avec les techniques prévues, faire une exploration c’est faire déjà le mal avec les forages, l’exploitation étant simplement l’ouverture des robinets pour commercialiser.

Les territoires ruraux sont en première ligne …

Les députés français doivent examiner aujourd’hui mardi 10 Mai 2011 en urgence une proposition de loi UMP qui interdira le recours à la méthode très contestée de « fracturation hydraulique ». Le texte, examiné par l’Assemblée nationale, ne prévoit pas de mettre un terme définitif à l’exploitation des mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux, pour autant que les industriels utilisent une méthode moins risquée pour l’environnement. 

Le pétrole, une chose est sûre : le pic de production du pétrole est proche ou dépassé. Conjugué à l'instabilité politique en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, cela conduit le cours du baril vers des sommets,  la catastrophe nucléaire de Fukushima, confirment les tensions préoccupantes sur le marché de l'énergie. On entend désormais beaucoup parler du gaz et huile de schiste (aussi gaz de houille et les gaz de réservoir ultracompacts) comme d'un nouvel Eldorado.

Ont essaye de nous faire croire que si l’exploration vers une exploitation posait un danger environnemental serait un stop à la poursuite du projet. Je suis très septique à un abandon de la sorte après avoir financer en fonds perdus cette exploration.

Pour mémoire : 

Le gaz naturel exploité aujourd'hui « gaz conventionnel » est stocké dans de grandes poches accessibles au moyen d'un forage vertical simple.

Le gaz de schiste appartient lui à la catégorie des « gaz non conventionnel » il est pris au piège dans de petites poches imperméables  et répartis de manière diffuse dans différentes couches géologiques à grande profondeur , sa récupération nécessite des techniques lourdes et sophistiquées par multiplication des forages horizontaux avec  injection d’énorme quantité d'eau sous très haute pression, pour fracturer la roche « fracturation hydraulique » , avec l'accompagnement de sable et d'additifs chimiques divers, produisent des effets nocifs à plusieurs niveaux :

  • rejet de méthane et de sulfure d'hydrogène,
  • pollution d'énormes quantités d'eau (plusieurs millions de litres par gisement), souillée par des solvants, des antibactériens, des acides...
  • gaspillage d'une très grande partie de cette eau (Seulement 50 % sont récupérés et nécessitent en outre une dépollution très lourde),
  • contamination des sols et nappes phréatiques,
  • multiples rejets de polluants atmosphériques,
  • nuisances en surface : bruit, transports sur route, mitage du territoire... 

Cette technique est largement utilisée aux Etats-Unis et au Canada, où les écologistes accusent de gaspiller de l’eau, de polluer les nappes phréatiques, et de défigurer les paysages. Les Citoyens de certains sites ont l’avantage d’avoir l’eau dans le gaz ou le gaz dans l’eau, comme ont veut ! Un briquet allumé devant la sortie du robinet à l’ouverture de ce dernier la flamme jaillie avant l’eau !

C’est vrai qu’avec une avalanche de chiffres, plus ou moins réalistes, la tentation, l’aveuglement, le profit est délirant et donne le tournis.  « En France, les gisements potentiels qui se trouvent dans le sud du pays, mais dont les ressources restent difficiles à évaluer car aucun forage d’exploration n’a encore été autorisé. Le récent rapport commandé par le gouvernement estime qu’elles représentent 90 ans de notre consommation actuelle de gaz. De son côté, l’Agence (américaine) d’information énergétique (EIA) chiffre les ressources françaises à 5.100 milliards de mètres cubes. Selon Total, la région de Montélimar pourrait receler 950 milliards de mètres cubes, soit 21 fois la consommation annuelle de gaz en France. Concernant l’huile de schiste, les prévisions les plus optimistes de l’Institut français du pétrole (IFP) tablent sur des ressources équivalentes à 100 milliards de barils de pétrole de schiste, ce qui représente 150 fois la consommation annuelle de la France. L’Agence internationale de l’énergie avance un chiffre de « 100 millions de mètres cubes techniquement exploitables » dans le Bassin parisien, soit 628 millions de barils. Enfin, certains experts de l’IFP estiment que l’ensemble du sous-sol français pourrait contenir 200 milliards de barils. » (sources France Soir). Nous pouvons compléter l’inventaire avec des ressources localisées en mer Méditerranée.

Toujours dans la précipitation « bien connu du fonctionnement au sommet de l’Etat et du gouvernement ». En mars 2010, le gouvernement a accordé les trois permis de recherche d’hydrocarbures en Ardèche, dans la Drôme, le Vaucluse, le Gard, l’Hérault, l’Aveyron et la Lozère, sur une surface totale de 10.000 km2. Jean-Louis Borloo, alors ministre de l'Environnement, délivrait au groupe Total l'autorisation d'explorer une concession de 4300 km² entre le Sud de Valence et la région de Montpellier. Objectif : trouver une alternative intéressante aux importations massives d’énergies fossiles, sans avoir besoin des énergies renouvelables.  

Nous voyons là que plusieurs pays européens, dont la France, reviennent sur leurs engagements sur les énergies renouvelables,soit une absence flagrante de vision européenne sur les enjeux énergétiques. Pis encore, l’apriori incroyablement favorable sur la nouvelle lubie des gaz de schiste que convoite une poignée d’industriels en dépit des retours d’expériences des canadiens et des américains pour le moins problématiques, nous amène à nous interroger sévèrement sur la cohérence européenne en ce domaine

Certes, la ministre de l’environnement, Nathalie Kosciusko-Morizet a bien tenté de rassurer. Mais lorsque l’on découvre que les permis de recherche avaient été délivrés dans une totale opacité par Jean-Louis Borloo, lorsque que l’on écoute les derniers propos de M. Besson responsable du portefeuille central de l’énergie. Bref, Paris fait machine arrière, le premier ministre François Fillon affirmant le 13 avril dernier à l'Assemblée Nationale que le gouvernement entendait annuler ces premières autorisations déjà données aux projets d’exploration des gisements potentiels.

Il n'est pas question de sacrifier notre environnement, l’eau par exemple, bien public, qui fait partie de notre corps l’air pour respirer, la terre et la mer pour nous nourrir, le tout indispensable à la vie, mais il n'est pas question, non plus, de fermer la porte à des progrès technologiques qui permettraient demain d'accéder à de nouvelles ressources énergétiques.

Peut être y aura-t-il un sursaut humanitaire souhaitable de la part de certain Députés de notre Pays !

A suivre …

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Le secteur rural représente près de 80% de la superficie de la France où réside près de 50% de sa population, soit environ plus de 30 millions d’habitants.

L'espace à dominante rurale, ou espace rural, regroupe l'ensemble des petites unités urbaines et communes rurales n'appartenant pas à l'espace à dominante urbaine (pôles urbains, couronnes périurbaines et communes multi- polarisées). Cet espace est très vaste, il représente les deux tiers des communes de la France métropolitaine.

L'espace rural se caractérise par deux classes extrêmes : 1 - Le rural sous influence urbaine, où les résidents vont chercher l’emploi et les équipements dans l’aire urbaine la plus proche et 2 - Le rural isolé, souvent en régions montagneuses, où l’emploi se trouve généralement proche du domicile mais où l’accès aux équipements demeure compliqué avec des temps de trajet importants. 

La réalité de nos territoires ruraux, c'est : Voir article cliquer ICI

 

Je reprendrais ci-après un article témoignage de la libre expression d'un Maire d'une commune rurale de 500 habitants :

"Le troisième tour des élections cantonales ... La ruralité : Un luxe ou n'est-on pas en train de préparer un exode rural ?"

Mon questionnement s’appuie sur deux aspects dissociés qui prennent une autre interprétation quand on les rapproche.

Le premier se fonde dans l’observation des facteurs orbitant autour d’une meilleure organisation du monde rural. Le second est qu’il est de plus en plus onéreux d’habiter la campagne

L’habitant rural est aujourd’hui confronté à un flot d’informations et de mesures dont il ne peut ni vérifier l’efficience au regard de sa situation.

 

Voilà ce qu’il pourrait dire ou penser :

De la meilleure organisation du monde rural avec : Tout d’abord, sa réorganisation des collectivités locales et territoriale:

En effet, on lui parle de réorganisation territoriale autour de deux pôles principaux, commune et communauté de communes d’une part et conseil général et conseil régional d’autre part.  Il sent confusément qu’il est nécessaire d’optimiser les pratiques mais ne veut pas non plus voir disparaître ou réduire à une coquille vide l’échelon communal de proximité, tout comme ce qui se passe actuellement dans les sous préfectures. On lui a certes dit qu’on ne touche pas aux prérogatives communales mais il entend également qu’en ayant recours à certains artifices technocratique ou comptables qu’utilise le gouvernement, les municipalités ont en fait de moins en moins de moyens pour assumer des missions qui, en revanche ne cessent  d’augmenter, de s’amplifier ou de se complexifier. Il apprend également (mais ce doit être la rumeur) que Département et Région voit leurs missions respectives se recentrer avec une incapacité à travailler avec les communes dans le cadre de financements croisés (transparence oblige) et que de toute façon l’Etat n’honore pas ses engagements financiers liés à la décentralisation.

 

La sécurisation ensuite dans plusieurs de ses aspects : 

Tout d’abord la gendarmerie. On lui explique que les interventions de la gendarmerie sont maintenant pilotées depuis un PC départemental qui peut lui envoyer le GIGN instantanément si besoin. Pourtant, il s’interroge car il ne parvient même plus  à voir le véhicule  de gendarmerie et les gendarmes qu’il connaissait et qui assuraient une surveillance efficace et bienveillante. Il en reste bien quelques uns qui sont maintenant accompagnés de jeunes qui changent souvent mais ils n’ont plus le temps.

C’est comme les sapeurs pompiers distants de 2 km qu’on appelait quand cela était nécessaire. Maintenant on fait le 15 et c’est de notre faute s’il faut plusieurs heures pour secourir notre voisine de 80 ans car on a bien vu qu’elle était tombée devant sa porte, qu’elle avait mal et qu’elle ne pouvait plus se lever mais on n’a pas été capable de diagnostiquer un col de fémur cassé. De plus, on se fait rappeler à l’ordre de n’avoir pas donné tous les renseignements utiles quand au bout d’une heure, on voit arriver une ambulance privée qui vient faire vingt kilomètres pour constater qu’il ne peut rien faire car la personne âgée pèse une centaine de kilos.

Pour l’eau c’est autre chose. Malgré la régie communale, son prix va être multiplié par trois ou quatre car il y a les nouvelles taxes imposées par l’Etat. De plus, le maire nous a informés que dans le cadre de la sécurisation de l’eau, les normes ont évoluées de manière à ce qu’il n’y ait plus de risque à boire l’eau du robinet. Il est vrai que depuis plus de deux siècles, les différents maires jusqu’à l’actuel doivent être des assassins en puissance de nous avoir permis de boire l’eau pompée par la commune, et que le cimetière en témoigne. Et puis … il y a la sécheresse. Il faut mailler, le territoire, organiser les possibilités de dépannage entre communes. Mais cela a un coût qui va également être répercuté sur le prix de l’eau. En plus, il a toutes ces grandes sociétés privées et leurs actionnaires qui aimeraient bien mettre main basse sur l’eau du  village et qui essayent, en relation avec les représentants de l’Etat de mettre en place un grand syndicat de production-distribution en eau qui s’occuperait de tout et qui pourrait alors leur en confier l’affermage. Moi qui pensais que l’eau devait appartenir à tous.

 

Et pour finir, on lui parle du SCOT

Celui-ci doit se faire dans la concertation, et comme il veut savoir ce qui va être fait pour qu’il puisse continuer à habiter son village, il va à la réunion sur le sujet. Tout d’abord intéressé car on lui annonce que ce schéma est fait pour relancer l’activité et le quotidien dans son bassin de vie, ’il pense que l’union fait la force, il se met à déchanter rapidement comprenant car il a beaucoup de bon sens  que ce SCOT vise surtout à renforcer les zones urbaine et que sa situation ne semble pas intéresser beaucoup de monde. Là, la résignation succède à la colère car il ne se reconnait plus dans ce fonctionnement mondial qui se généralise.

 

Une vie dans nos campagnes de plus en plus dure :

Un choix de vie…

Pour lui qui avait choisi de vivre à la campagne il y a vingt ans car il avait pu s’acheter à crédit une petite maison de village à conforter, faire un peu de jardin et d’élever quelques poules pour nourrir sa famille, la vie n’a cessé de se dégrader. Cela est encore pire pour deux de ses voisins qui avaient toujours travaillé dans l’usine qui a fermé. 

De plus, il y a maintenant les problèmes de sécurité car les gendarmes ne sont plus en mesure d’assurer leur mission. Et puis, la situation avec sa voisine le fait réfléchir. Que se passerait-il si lui-même sa femme ou un de ses enfants avait un accident ?

 

… Qu’il est contraint d’abandonner

Depuis le dernier contrôle technique de sa vieille auto, il y a deux ans, il se demandait comment il parviendrait à acheter un véhicule plus récent. Maintenant, avec l’augmentation du coût de l’essence, il se sent humilié d’avoir dû contacter le maire pour demandé une aide du CCAS. Il doit en effet  mettre du gasoil dans son véhicule afin qu’il puisse se rendre à son travail, sinon ce sera le chômage. Cela n’arrangerait rien à sa situation déjà tendue avec les hausses successives de l’eau, du gaz, de l’électricité, du carburant ainsi que des produits de nécessité. 

C’est maintenant avec beaucoup d’amertume qu’il écoute les « mesures gouvernementales » censées aider les plus défavorisés. En effet, il se demande maintenant s’il ne va pas être obligé de vendre sa maison pour regagner des blocs HLM comme ses deux voisins qui ont d’ores et déjà mis leur habitations en agences.


Mettre fin à cette fracture territoriale de plus en plus marquée !

Nos campagnes attendent une politique volontariste pour assurer le «  mieux vivre ensemble » et ainsi se développer dans un équilibre entre villes et campagnes au travers une équité territoriale.

 

Il semblerait que pour la gauche le PS et pour la droite l'UMP, sur le fond, se saississent enfin sérieusement du problème rural. Sur la forme, à l'origine de la démarche avec pour le PS la rédaction du "Bouclier rural pour les territoires d'avenir" et dans la foulée pour l'UMP une copie aménagée "Plan Marshall pour une ruralité résolument moderne" (A noter que l'intitulé "Plan Marshall" : Le plan Marshall est régulièrement évoqué chaque fois qu'il est question d'aide au développement. On voit dans son succès la preuve que des crédits et des dons massifs peuvent assurer le démarrage, voir redémarrage d'une économie. L'emploi de cet intitulé employé par la droite est la reconnaissance du catastrophisme de notre monde rural d'aujourd'hui et confirme la réalité de son échec de sa politique en la matière.)

Une démarche de démocrate : Le "Bouclier rural" comme le "Plan Marshall" ne peuvent pas être une proposition de Loi dans l'état, ils sont seulement des documents de travail sur la base d'un RASSEMBLEMENT autour d'une table avec toutes les forces vives, démocratiques et républicaines de ce Pays, toutes les parties prenantes pour solutionner ce problème majeur, vers un texte règlementaire opposable aux collectivités dans le cadre de la réforme territoriale (revue et corrigée). Parlons de territoire rural, de proximité pour les besoins de base quotidiens, les services publics, et la mobilité de l'habitant rural dans son bassin de vie (transports de personnes), mais c'est aussi parler d'économie rurale et d'agriculture avec sa revalorisation, diversification et développement. Un retour de la République dans nos vilages ! UNE URGENCE A METTRE EN OEUVRE.

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L'échéance 2012 approche alors les petits cadeaux électoraux commencent à pleuvoir pour essayer de limiter les dégats, ils seront financer comment ? un peu plus on n'est plus à ça près. Si nous sommes réélus après 2012 nous récupèrerons et si nous sommes pas réélus, ce qui devrait être le cas et bien après nous le déluge ! Allez y Messieurs c'est très facile de dépenser l'argent qui ne vous appartient pas, nous sommes si peu endettés !

Grandes manoeuvres et combinaisons pour la présidentielle ... La dernière en date celle de Jean-Louis Borloo quittant l'ump pour travailler sur une alternance, voir une candidature à l'élection présidentielle, après quatre années passées en tant que ministre numéro deux du gouvernement Sarkozy-Fillon sans ombrage ni contestation (il y serait encore s'il n'avait pas été viré), sans compter les cinq ans passés sous Chirac ... Et brusquement il a un programme d'alternance à une politique qui a cautionnée et acceptée !!! et pourquoi pas demander l'aval de son programme à la majorité en place.

la France et les Français souhaitent et attendent une véritable alternance, un changement de cap profond orienté vers la justice sociale, fiscale, plus de solidarité, de sécurité, de justice. Une véritable politique vers l'emploi, les jeunes, le pouvoir d'achat, la réduction des inégalités, une action pour les entreprises, pme pmi, artisans, commerçants, professions libérales ...

Engager les véritables réformes en concertation et durablement à l'inverse des solutions provisoires toujours remises en cause : retraite, protection sociale ... Une réforme, pourtant urgente, qui aurait du être engagée depuis bien longtemps celle sur les choix énergétiques couplée à une réforme sur les tarifs de l'énergie (équitable et social) avec un grand et noble mot "solidarité" pour exemple : Est il souhaitable que les ménages les plus aisés beneficient d'une énergie à des taris aussi avantageux comme le "tarif bleu" cela devrait se traduire par la mise en place d'un système juste et redistributif, incitatif pour les économies d'énergie et encourageant les investissements au meilleur coût dans les moyens de production.

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C'est un mouvement LIBRE et INDEPENDANT dont la vocation est de RASSEMBLER.

Le MODEM n'est pas un parti de godillots, pas plus qu'un strapontin du PS ou de l'UMP.

Nous n'avons AUCUNE TENTATION d'aller vers la DROITE, pas plus que vers la GAUCHE.

Le choix de la compromission n'est pas et ne sera jamais le nôtre.

Nous nous opposons vivement à la politique de Nicolas Sarkozy, politique méprisable du fort au faible, avec ses injustices sociales, fiscales et de justice pure. Des actions qui montent les Citoyens les uns contre les autres.

Trop de temps de perdu, nous devons tourner la page définitivement. Nous avons des valeurs et des idées à défendre que nous croyons bonnes pour la France et les Français avec un impératif se rapprocher du Citoyen, à l'écoute de ses préocupations quotidiennes, une action de proximité directe de terrain. 

Face à la  majorité actuelle : UMPFN - UMPSARKO - UMP... Pour 2012 la voie du MODEM, du vrai CENTRE est salutaire pour notre Pays et le Peuple Français.

Un peu plus de douze mois pour construire l'avenir du Pays, au travail.

Rendez-vous est pris. 

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UNE GRANDE CAUSE NATIONALE

 

UN  CONSTAT – UNE REFLEXION – DES ENJEUX – UNE ACTION

Le monde rural est le grand oublié de la sphère politique !

Les campagnes n’inspirent plus personne depuis longtemps au sommet de l’Etat !

L'espace rural se caractérise par une densité de population relativement faible, par un paysage à couverture végétale prépondérante (champs, prairies, forêts, autres espaces naturels) et une activité agricole.

Trois types d'usage de l'espace rural

On distingue trois types d'usages de l'espace rural :

la « campagne cadre de vie »,

la « campagne ressource »

et la « campagne nature ». 


La « 
campagne cadre de vie »  est une campagne résidentielle, celle que choisissent les citadins qui viennent s'installer dans les espaces périurbains, impliquant un étalement de la population autour des villes et donc une logique volontariste de transfert d'équipements vers ces nouvelles populations. 

La "campagne ressource" est une campagne productive à la fois de produits agricoles et de biens industriels.

Enfin la « campagne nature » inclut les espaces naturels plus ou moins protégés, comme les parcs nationaux et régionaux, les réserves diverses.

 

Trois types de dynamiques

Les espaces ruraux peuvent également être classés selon leur dynamisme. 

Les espaces ruraux dits « périurbains », très dépendants des villes pour les emplois comme pour les commerces et les services, connaissent une croissance démographique encore rapide malgré un ralentissement récent et un rajeunissement de leur population. 

Au contraire, les espaces ruraux dits « profonds » (ou « fragiles »), éloignés des villes, gardent un accès difficile aux services publics, une couverture en téléphonie mobile insuffisante, accès aux réseaux de transports en commun inadapté voir inexistant, ils voient leur population vieillir et connaissent un certain déclin démographique, malgré un accueil important de retraités.

Enfin des espaces ruraux dits « vivants », plus ou moins éloignés des villes, gardent un certain équilibre démographique grâce au tourisme ou à des industries traditionnelles adaptables ou à des industries agro-alimentaires récentes soutenues par une agriculture dynamique."

 

L’ espace rural n’est pas exclusivement le lieu d'expression et d'évolution du monde agricole, cette agriculture « Les mamelles de la France » qui traverse une crise historique. Ces agriculteurs (jeunes et moins jeunes), ces éleveurs de bovins, de porcins, d’ovins, de volailles, ces producteurs de lait de fruits et légumes, ces maraichers…  Ces fermiers, ces cultivateurs, nos paysans qui se sentent abandonnés face à la mondialisation et à l'incompréhension dont ils sont l'objet. Un désespoir qui se traduit d'abord par des chiffres officiels effrayants avec une chute de 34 % des revenus en 2009 et toujours à la baisse pour 2010, ce désespoir, c'est aussi un sentiment d'abandon, l'impression de ne plus servir à rien, de ne plus trouver de place dans la société, de ne plus avoir de mission historique, mais au contraire de devoir supporter la suspicion permanente de l'administration, de l'Europe, de l'OMC. J’approuve et soutien l’action de Jean-Claude DESCHAMPS Conseiller Municipal délégué aux affaires agricoles de la ville de Brive et Président du Mouvement DEMocrate de la  Corrèze.

L’espaces rural c’est également une population non agricole, des ouvriers, des employés, des cadres, des chefs d’entreprise, des petites gens, des déqualifiés, des précaires, des personnes âgées, des femmes seules avec enfants, des jeunes (bien souvent du pays), des ex-urbains refoulés des villes devenues trop chères, trop hostiles et bien d'autres, toute cette population condamnée à consacrer parfois plusieurs heures en transport (non adapté, voir quelquefois inexistant) pour pouvoir accéder à leur lieu de travail, à la santé, aux services publics pour le quotidien. C’est aussi les commerçants, les artisants, les entreprises et les professions libérales qui vivent dans ces villages et le font vivre.

 

** Une description des changements survenus récemment dans l'espace rural français :

"Des comportements des ruraux de plus en plus urbains, et un regard des citadins sur l'espace rural devenu positif

L'image d'un monde rural replié sur lui-même, d'un mode de vie rural particulier et autonome n'est évidemment plus de mise. Les ruraux français se sont ouverts sur la planète entière par l'intermédiaire de la télévision  (la quasi totalité des ménages en est dotée et les ruraux sont des téléspectateurs particulièrement assidus), de l’internet (même si ce média est encore moins utilisé qu'en ville), des voyages touristiques, etc. Les agriculteurs ont été soumis aux pressions de l'Organisation Mondiale du Commerce dont les décisions ont fortement contribué à l'inflexion de la Politique Agricole Commune vers une baisse des prix agricoles et un soutien direct aux agriculteurs, etc. Les entreprises industrielles rurales, agro-alimentaires ou autres, sont désormais soumises à une concurrence mondiale. 

Les ruraux se sont ouverts sur l'Europe. La PAC règle plus que jamais la vie et le revenu de nos agriculteurs. L'orientation vers une agriculture plus durable a amené ces derniers à utiliser des techniques plus respectueuses de l'environnement (la consommation des engrais chimiques est en baisse).

Les ruraux se sont ouverts sur le territoire national : 85 % des ménages ruraux sont dotés d'une voiture et souvent de deux, le réseau routier et autoroutier s'est étendu et amélioré, les liaisons ferroviaires sont devenues plus rapides, parfois il est vrai aux dépens des dessertes locales ; les ruraux se sont mis à partir en vacances, même si c'est moins longtemps, moins souvent et moins loin que les citadins. 

Les ruraux se sont ouverts sur leurs voisins. Ceux de la ville qu'ils côtoient plus souvent qu'autrefois puisqu'ils vont eux-mêmes souvent travailler en ville ou y faire leurs courses, ou parce qu'ils voient s'installer dans leur propre village des citadins en mal de terrain à bâtir bon marché et de tranquillité. Les ruraux se sont ouverts également sur leurs voisins des autres villages : « l'esprit de clocher » recule avec la mobilité des individus. Les associations pluri-communales fleurissent à la campagne et surtout l'intercommunalité progresse avec une rapidité qui déjoue les prévisions : les "pays" connaissent un réel succès (même si celui-ci est inégal selon les régions), les communautés de communes se multiplient à un rythme rapide, au risque, il est vrai, d'une superposition des circonscriptions d'administration ou de projet, dans laquelle les élus eux-mêmes se perdent parfois ; au risque également d'une concurrence avec les conseillers généraux ou au contraire d'une mainmise de ces derniers sur ces nouvelles circonscriptions ; au risque enfin d'une concurrence avec les régions qui s'intéressent elles aussi aux espaces ruraux. 

Cette ouverture sur le monde, cette mobilité des hommes et des idées impliquent une mutation des comportements et des représentations à la fois chez les ruraux et chez les citadins. 

Les comportements spécifiquement ruraux n'existent plus vraiment : bien des ruraux sont plus ou moins « urbains » comme en témoignent la progression des départs en vacances et des voyages lointains, la multiplication de nouvelles associations locales (sportives, culturelles, musicales, d'animation, du troisième âge, etc.), le rapprochement du vote des ruraux (par ailleurs très différencié) de celui des citadins, sauf exceptions locales. L'image, plutôt négative, que les ruraux avaient traditionnellement d'eux-mêmes et de la campagne (retard, isolement, etc.) s'est inversée : ils sont fiers aujourd'hui d'habiter la campagne, de bénéficier du calme, de la nature, du "bon air" et regardent avec une certaine condescendance les citadins soumis, selon eux, au bruit, à la pollution, à l'insécurité, à l'entassement ... 

L'image négative que les citadins avaient traditionnellement de la campagne s'est inversée également : celle-ci est devenue symbole d'identité à défendre, de patrimoine à valoriser, de nature et de paysage à conserver, de calme et de sécurité à préserver. Moins qu'un espace agricole, l'espace rural est désormais pour les citadins un espace de détente, une réserve de nature et, pour certains, un cadre de vie désiré. Les citadins estiment désormais avoir un droit de regard sur l'espace rural : ils sont sensibilisés aux pollutions agricoles et à la transformation des paysages par l'urbanisation, par l'implantation d'axes de communication, par les reboisements, les remembrements, les friches, etc."

 

Dénoncer l’inégalité entre les territoires, dénoncer ces discriminations dont sont victimes les habitants des campagnes au regard de l’accès aux services publics bien sûr (fermeture de bureaux de poste), mais aussi de l’accès aux soins (déserts médicaux), à l’information (fracture numérique), à la communication (zones blanches), à l’éducation (fermeture des niveaux et classes uniques), à la sécurité (fermeture et regroupement des brigades de gendarmerie), aux transports (enclavement, pas de transports en commun), à la représentation politique (suppression des circonscriptions rurales peu peuplées et demain des cantons), à l’emploi (taux d’emploi plus faibles et taux de chômage plus élevés)… et même aux concours financiers de l’Etat (dotation par habitant plus réduite) ! Notre modèle républicain condamne les « inégalités de traitement » Il ne peut tolérer l’existence de citoyens de seconde zone en fonction de leur lieu d’habitation.

C'est l'État tout entier qui fout le camp dans nos campagnes !

Qu’attend le gouvernement pour s’appuyer sur les attentes des campagnes et accompagner un dispositif de proposition de loi susceptible d’être animé et soutenu par tous les groupes politiques du Parlement, s’il est ambitieux, il pourrait être voté à l’unanimité. Car le devenir des campagnes n’est ni de droite ni de gauche ni du centre mais il exige des politiques publiques fortes. Il faut privilégier réellement la voix du terrain et la voie parlementaire à celle de l’administration technocratique ou du projet de loi, qui peut-être utile, mais fourre-tout, comme nous l’avons connu en 2005 avec la loi sur le développement des territoires ruraux.

Au-delà du constat, il faudra bien faire face et répondre aux sujets qui fâchent.

L'urgence est de retrouver la confiance entre la Société et le monde rural.

Nous devons aller bien au-delà d’assurer seulement la survie d’une agriculture !

L’action pour sauver nos campagnes est dans l’attente d’un sursaut Citoyen !

Mon combat s’inscrit pour les prochaines élections Cantonales de 2011 pour notre département et le canton d’Ayen. Profiter de cette consultation électorale pour aller plus loin avec un véritable projet-programme dynamique, réaliste, cohérent, juste, équitable, équilibré et sans inégalités au service de toute la population « pour la Corrèze et pour TOUS LES Corréziens » définir ses priorités pour le présent et pour l’avenir de ce département et de toutes ses communes, en tenant compte des impératifs budgétaires au regard de cette période difficile afin de ne pas alourdir la contribution fiscale des contribuables, dans le respect des origines, des traditions, du patrimoine, de la culture, de l’écologie, de l’environnement et du développement durable. Conserver ce qui est bon, voir l’embellir. C’est une action pour une reconnaissance aussi de ce monde rurale indispensable à notre économie et à notre survie. Défendre le maintien d’un vrai tissu d’exploitations agricoles de taille humaine.Mieux vivre au Pays passe aussi par l’emploi, la mobilité (Transports adaptés et accessibles), et la défense du service public, force de constater un profond sentiment d'inquiétude au niveau des populations des zones rurales, ils ont vu partir par vague successive le curé, l'instituteur, le bureau de poste, le médecin. Ils verront partir demain le petit commerce suivi du pharmacien. Il leur reste leur Mairie, et la permanence du Conseil Général. Ces Elus au suffrage universel de la France qui sont autant de sentinelles de la République. Ils traitent à la fois de l'homme et de l'intégrité de notre territoire, cette inquiétude porte aussi sur le problème de la présence et de la proximité de ces Elus au regard de la réforme des collectivités territoriales (en cours), qui dans une certaine forme est une remise en cause de leurs compétences, leurs moyens financiers, et l'élection de leurs représentants.

Je reste vigilant et terminerais cet article avec des citations qui reflètent mon engagement pour nos campagnes, ses professionnels et ses populations. 

Serge BECOT                                                                                                          

 

Citations :

“Nous avons une grande ambition pour l'agriculture. Nous la voulons soutenable économiquement, socialement et écologiquement, trois piliers indissociables pour un monde rural vivant.“, de François BAYROU Président du MOuvement DEMocrate,

“L’agriculture a besoin qu’on la considère et qu’on la respecte”, de Marc Fesneau Secrétaire Général du MOuvement DEMocrate.

** Extraits des publications de l’association www.campagnesdefrance.fr de Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques et Conseiller Régional Aquitaine MOuvement DEMocrate et de André Chassaigne, député du Puy-de-Dôme.

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Au lendemain de ce deuxième tour, les chiffres vont bon train, des grands gagnants aux grands perdants ! la mathématique pour contrôler le bon report des désistements ! Et ce troisième tour qui commence aujourd’hui pour l’attribution, en autres, des postes de vice-Présidents en lot de consolation !

 

Les résultats de cette élection  régionale 2010 du premier et second tour  appelle de ma part le commentaire personnel suivant : Les chiffres qui m’interpellent sont :

1/ Ceux de la forte abstention  40 voir 50% et plus qui s‘ajoute aux votes non-exprimés, je m’interroge sur la représentativité du peuple quand une liste qui arrive à 50% des 50% des suffrages exprimés soit un quart des Citoyens inscrits et je me demande dans le cas ou les votes blancs auraient été comptabilisés en suffrages exprimés il y aurait autant de triomphalisme aujourd’hui.


Comparons ce qui est comparable pour une même élection régionale, des chiffres du pourcentage d’abstention qui parlent d’eux même (2ème tour) quelques exemples :


OBJAT 2004 : 19,06% - 2010 : 39,12%

AYEN 2004 : 13,44% - 2010 : 42.04%

BRIVE 2004 : 38,46% - 2010 : 51,44%

TULLE 2004 : 31,87% - 2010 : 45,76%

USSEL 2004 : 30,10% - 2010 : 46,72%

Ensemble de la Corrèze 2004 : 28,08% - 2010 : 41,51%

Ensemble du Limousin 2004 : 31,12% - 2010 : 42,77%

 

2/ La montée inquiétante des extrêmes et particulièrement le Front National (Les quelques points gagnés au deuxième tour sur l’abstention seraient peut être repartis sur ces listes extrêmes!).

Il me semble que nous sommes entrain de rejouer la même partition que pour la Présidentielle de 2002.

 

Pour avoir rencontré la population de ce monde rural, lors de la campagne de proximité du premier tour de cette élection régionale 2010, dans ce canton d’Ayen ou j’habite, je peux affirmer après ce dialogue direct avec les citoyens : Particuliers actifs et retraités, Personnes handicapées, Agriculteurs, Eleveurs, Producteurs, Artisans, Commerçants, Professionnels de la santé, Indépendants, Agents, Fonctionnaires en poste et des Elus , ils expriment un ras le bol accompagné par une perte d’espoir, ils ne croient plus dans les responsables politiques sur leur volonté d’inverser l’avenir de cette Société de plus en plus injuste. Ils souffrent dans leur quotidien du manque de solidarité entre mondes urbain et rural qui se traduit par une entrave au développement économique dans l’aménagement de leur territoire rural, un monde agricole abandonné, des services publics devant disparaître : La poste, fermeture de classes, le maintien des commerces de proximité et les professions au service de la santé, un isolement avec l’absence de transports en commun, des financements impossible à obtenir au niveau de la région pour une commune pour la remise aux normes d'une salle polyvalente pour le mouvement associatif.

 

Je reste convaincu que la seule voie pour un avenir meilleur pour notre village, ville, département, région et notre pays passe par des valeurs humanistes, démocrates, solidaires et de justice sociales au travers un Centre indépendant pluraliste et non pas au travers un clivage gauche/droite qui consiste à détruire ce que la gauche a fait quand la droite est au pouvoir et vice-versa. Ce bipartisme ne peut aboutir qu’a une situation stérile, voir catastrophique pour notre pays. Je condamne fermement le système Sarcozyste, le copinage, le favoritisme de proche, le clientélisme avec son système financier qui permet de relancer le CAC40 sans pour cela faire repartir l’économie de notre Pays, (Il y a beaucoup à dire à ce sujet).

 

Je regrette de n’avoir pu convaincre plus de Citoyens sur notre projet.

 

Je remercie de leur l‘accueil ceux qui m‘ont reçu..

 

Je reste mobilisé et engagé comme Centriste démocrate et indépendant sous ces valeurs humanistes, solidaires, libérales, sociales et européennes. Je reste un homme de dialogue ouvert et sachant accepté ce qui est bon pour notre peuple et refuser et dénoncer à l’inverse et cela peut importe l‘origine.

 

Vous pouvez compter sur moi, je serais présent à la prochaine consultation électorale.

 

 

 

 

 

 

 

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En Août 2009 j'écrivais dans le précédent article "L'absence d'équité dans l'application et l'absence d'équité dans la redistribution" aujourd'hui avec la censure du Conseil Constitutionnel l'exécutif ne peu que reconnaître son amateurisme, une fois de plus, dans la conduite des affaires du Pays.

Devant cette réforme d'une telle importance pour l'avenir de la génération actuelle et surtout de celles à venir, nous parlons de "survie de l'humanité", la sagesse aurait été de reprendre ce dossier dans sa globalité à zéro. Un délai nécessaire pour reformuler cette reforme capitale. La concertation avec tous les acteurs. Nous devons accepter nos responsabilités, nous sommes tous des pollueurs. Il ne peut exister d'exonérations, ni d'exceptions, la contribution de chacun doit être évaluée à sa juste valeur. Pour la redistribution le dossier restant encore plus que complexe.

Pour notre Président autocrate, c'est tout le monde sur le pont avec sa boite de rustines, vingt jours pour réparer un texte, le remanier et le présenter au Conseil des Ministres du 20 Janvier 2010 (un simulacre de démocratie les décisions étant déjà arrêtées et applicables au 1er Juillet 2010).

Je condamne de telles méthodes, cette précipitation n'est pas justifiée et entraînera vraisemblablement une deuxième mouture de réforme pire que la première. De qui se moque t'on !    

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C'est vrai, LA NATURE APPARTIENT AUSSI A CELLE OU A CELUI QUI LA REGARDE !
Mais nous devons réduire nos Co2 pour préserver cette mère nature vitale et une réaction "APRES NOUS LE DELUGE" n'est pas pensable.

REAGIR AUJOURD'HUI POUR MIEUX VIVRE DEMAIN

Avec les panneaux photovoltaîque, nous maitrisons l'énergie solaire, nous arrivons même à la stocker,
(récupération le jour et restitution la nuit), comme l'énergie vent avec les oleoliennes de gros progrès
ont été réalisés sur le plan technique (petite structure, rotor vertical avec palles sous dimensionnées,
mais aussi sur le plan d'intégration dans l'environnement.

L'équipement collectif (groupement) comme individuel est aujourd'hui possible, sans nuisances.
Les collectivités locales peuvent donner l'exemple (prise en charge de l'éclairage public, énergie pour
les batiments publics, mise à disposition via le ccas, de l'accès aux plus défavorisés). Un source de
revenu pour les pme-pmi, les exploitants agricoles comme pour le particulier avec la possibilité de fournir 
le surplus au réseau edf qui sera rémunéré. Il ne s'agit pas de couvrir tout le département de moulins
à vent et n'importe comment, c'est pour cela qu'une structure administrative et de controle doit être mise
en place pour éviter toutes dérives de toutes natures.

Aujourd'ui ces énergies nouvelles sont complémentaires à l'existant mais surtout NON POLLUANTES.

Une volonté pour l'avenir de notre planète et des générations à venir.
Ne perdons pas de temps car aujourd'hui c'est possible, demain se sera obligatoire.






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En Corrèze comme en région Limousin, dans le Pays les exploitants agricoles sont désespérés, angoissés pour leur avenir, ils ont le sentiment juste d’être absolument abandonnés par les pouvoirs publics.
 

Il devient épuisant de voir ce gouvernement prendre dans tous les domaines, le parti des plus forts et des plus riches.

Comment peut-on continuer à encourager l'agriculture industrielle et condamner l'agriculture artisanale alors qu'on prétend avoir des ambitions écologistes pour la planète ?


La France ne doit pas faire partie de ces pays qui voient d'un bon œil l'industrialisation de l'agriculture et la multiplication des usines à lait.
 

Concernant la crise du lait : Il faut que la direction générale de la concurrence et de la consommation revienne sur la décision désastreuse qui a été prise d'interdire aux industriels du lait de travailler avec les producteurs laitiers pour fixer des prix de référence. Si l'on veut sauvegarder pas seulement les productions mais les producteurs, pas seulement des volumes de lait mais les exploitations qui les produisent, il faut que la France défende activement l'idée d'une organisation des marchés. Je suis pour, à l'échelon européen, le maintien des quotas laitiers et la création d’un système de régulation. A l'échelon national la reprise du travail sérieux qui était conduit depuis des décennies et permettait de définir des prix de référence: ils étaient un atout pour les industriels parce qu'ils effaçaient les prix hauts du marché et un atout pour les producteurs parce qu'ils effaçaient les prix bas, ce qui a sauvé le métier de producteur laitier et ainsi les exploitations."


L’Europe propose une « prime à la casse« , pour inciter les producteurs à se restructurer, se n’est pas une question de restructuration, c’est une question : « comment peuvent ils vivre ? Comment on peut préserver le modèle agricole français à taille humaine ? »(Interview de Marielle de Sarnez aux « 4 vérités » de France 2, vendredi 18 septembre 2009).

Aujourd’hui les producteurs de lait, demain les éleveurs porcins, ovins, bovins, les volailles … producteurs de fruits et légumes, c’est toute l’agriculture en générale qui est en crise !

Je défendrais une politique européenne d’agriculture de qualité qui visera à la fois la sécurité alimentaire de l’Europe, l’exigence environnementale, et le maintien d’un vrai tissu d’exploitations agricoles de taille humaine ».
Une Europe humaniste reconnaissant « l’exigence sociale, démocratique et écologique au dessus des règles du marché ».

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Lien Social plutôt que rentabilité.

La Poste ne coûtait rien au contribuable.
Aujourd'hui, elle emploie moins de monde et met les communes à contribution....


La modernisation de cette grande entreprise publique ne nécessite en rien son changement de statut en société anonyme.


La poste, les hôpitaux, les écoles ne sont pas que des équipements publics, mais l’expression du modèle social Français. L’accès de tous aux services publics, constituent les principes fondateurs de la République sociale.


La Poste, en entreprise privée devra générer du profit pour ses actionnaires et les services non rentables, en zones rurales, en banlieues, le courrier individuel et tous les petits services que rendent les postiers, devront disparaître.


Encore une tentative de mesure vers l’ARGENT ROI pour être plus généreux envers les plus riches, ceux que le bouclier fiscal protège, ces derniers (certain futurs actionnaires de la S.A. POSTE)  vous remercient en cas de concrétisation de votre projet gouvernemental.

On nous chante encore une fois la même vieille rengaine : socialiser les pertes et privatiser les profits.

Pour moi c'est non à la privatisation de La Poste.

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.................... Blog d'un Corrézien Démocrate et Républicain ....................

Ancien élu CONSEILLER MUNICIPAL délégué : Urbanisme - Circulation - Transport en commun. Commune de Grasse 06 Mandat électif : 1977-1983 Ancien membre d'un syndicat intercommunal de transport urbain Grasse-Antibes S.T.G.A. Ancien trésorier d'une association.

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